Une vulnérabilité de l'observateur d'événements (Event Viewer) de Windows 2000 permet à un utilisateur mal intentionné de bloquer l'observateur d'événements lorsqu'un utilisateur ouvre cet outil d'administration, voire exécuter du code arbitraire avec les privilèges de ce dernier.
Une vulnérabilité du Java Runtime Environment permet à un utilisateur mal intentionné d'exécuter des commandes qui lui sont normalement interdites à l'aide d'une classe Java.
Un utilisateur mal intentionné peut, en ajoutant une carte de visite habilement composée à un courrier électronique, entraîner l'exécution de code arbitraire ou un déni de service sur la machine recevant ce courrier.
Un débordement de mémoire lié à la longueur des noms d'utilisateurs, permet à un utilisateur d'obtenir localement les privilèges de root.
Un utilisateur malveillant peut, par le biais de requêtes malformées envoyées à une machine contrôleur de domaine Windows 2000, entraîner un déni de service sur cette machine.
Un utilisateur mal intentionné peut créer un déni de service sur un serveur NT 4.0 en envoyant des paquets PPTP astucieusement formés.
Une vulnérabilité de SSH permet à un utilisateur mal intentionné d'accéder à un shell root à distance.
Une vulnérabilité du logiciel d'administration à distance du matériel Compaq avec interface HTML permet à un utilisateur mal intentionné de compromettre une machine indépendamment du système d'exploitation qui y est installé.
Un utilisateur mal intentionné peut, par le biais d'une vulnérabilité dans l'authentification NTLM, exécuter du code arbitraire avec des privilèges élevés sur la machine cible.
Une vulnérabilité de l'agent NDDE (Network Dynamic Data Exchange) permet à un utilisateur mal intentionné d'élever ses privilèges et d'exécuter ainsi des commandes et des programmes auxquels il n'aurait normalement pas accès.